"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Si la caricature, la parodie et le pastiche sont classiquement en marge de l'histoire de l'art, nombre d'artistes reconnus s'y sont adonnés avec talent. Depuis l'Antiquité, le langage satirique s'est affirmé comme un moyen d'étude et de dénonciation ironique du monde, dont la diffusion fut largement favorisée par l'invention des techniques de reproduction, depuis l'imprimerie et la gravure jusqu'aux sérigraphies modernes. Les journaux satiriques, qui connurent au XIXe siècle un vaste développement et pour lesquels travaillèrent de grands noms comme Honoré Daumier, donnèrent ses lettres de noblesse à la caricature tout en réussissant à s'adresser à un public plus large que celui des oeuvres d'art. Deux artistes nancéiens apportèrent une contribution majeure à ce genre : Jacques Callot (1592-1635) et Grandville (1803-1847), dont le musée des Beaux-Arts, le musée Lorrain et la bibliothèque municipale de Nancy possèdent de très nombreuses oeuvres. Un colloque sur la caricature, l'étrangeté et la fantasmagorie trouve donc naturellement sa place en Lorraine.
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