Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Remorques se regarde comme un aplat détrempé ou un rouleau déplié.
Là réside la modernité du film : dans son absence d'épaisseur métaphysique ou de densité psychologique, dans son refus de l'invisible et de toute poésie factice, c'est-à-dire dans le rendu de la prose du monde. dans la mesure où toute la douleur du monde semble s'être logée dans le tueur d'andré laurent (jean gabin), la souffrance n'est pas liée au conflit entre l'individu et l'univers. elle se dilate à la mesure du cosmos.
Sans appel à la sublimation. sans appel à la réconciliation entre l'homme et les choses. juste la description d'une douleur sèche.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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