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L'eau de mer, comme matière première, est généralement utilisée à l'échelle industrielle mondiale pour produire soit de l'eau potable, soit du sel marin. Le concept de vouloir obtenir à la fois ces deux produits de première nécessité demeure la principale originalité de cette étude. Permettant de produire du sel marin avec un rendement de (97,48 ± 2,50)%, l'évaporation thermique de l'eau de mer élimine aussi la quasi-totalité des éléments indésirables. Cette technique nous permet non seulement de récupérer la vapeur issue de la cristallisation de la mer, mais également de la transformer en eau potable avec un résultat de (98,96 ± 1,00)%. Celle-ci contribue par conséquent à minimiser l'effet de serre atmosphérique de l'eau gazeuse. Ayant un statut juridique municipal et utilisant près de 51 employés pour sa première année avec une charge salariale mensuelle estimée à 32 800 euro, ce projet nécessite un investissement de 1 716 702,75 euro récupérable après seulement 1,98 année de fonctionnement. Pour satisfaire le besoin en sel de la population comorienne, une production de 7,94 grammes de sel par jour et par habitant est recommandée.
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