L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Si l'histoire se lit dans les livres, elle peut également se comprendre par les images. Au début du Moyen Âge, en France, l'Église chrétienne utilisa la représentation iconographique pour enseigner à ses fidèles les évangiles et la vie des saints. Le pouvoir royal l'imita. Des artistes y trouvèrent une occasion de se distinguer. Sur la toile, des scènes intimes, où des personnages prennent vie.
Au début du XIX siècle, le genre faisait toujours fureur. Il est aujourd'hui appelé peinture d'histoire et contribue à la glorification d'un passé que l'on veut commun aux Français. Alors, sans naïveté, laissons-nous aller à la rêverie, amusons-nous à décrypter, par quelques figures emblématiques - Vercingétorix, Clovis, Geneviève, Charlemagne, Saint Louis, Jeanne d'Arc, François I et Henri IV -, un sentiment national qui s'affirme à partir d'une iconographie riche, audacieuse et toujours vivante, puisque exposée dans les lieux les plus fréquentés de France.
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