Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Ancien journaliste, professeur des écoles à Loches (Sud Touraine), Jean-Marie PARENT a fait de l'art et de l'écrit des compagnons familiers. L'art nous regarde et nous parle. Il sait nous engager au coeur de récits mythiques où la mouvance de nos histoires personnelles trouve parfois un écho fertile.
Ainsi l'auteur visite-t-il les oeuvres, tentant d'en découvrir le secret à la fois unique et multiple. Invitant chacun à partager ce geste d'attention et de bienveillance qui « oblige » l'amateur éclairé, il guette l'intemporel moment de bascule vers le climax de l'ouvrage : l'instant magique, intime, de la transmission.
Patiente exploration dans « les règles de l'art » . C'est le regard posé du visiteur qui fait renaître l'oeuvre, vierge comme à l'origine face à cet oeil neuf. Car l'oeuvre transcende le temps : elle contient tous les temps, ceux qui ont vu son émergence, comme tous ceux, postérieurs, qui la restituent à notre vigilance émerveillée. Porteuse de l'exigence d'un sens, elle en appelle à l'ouverture des sens, à l'élégance du regard, au déploiement de la pensée.
Alors peut venir le temps de transcrire et de transmettre l'émotion née de son exposition. L'auteur tente de se faire le passeur suggestif de « la passion à l'Oeuvre ». S'appuyant sur les nouvelles ressources offertes par la « Toile », le lecteur, à son tour, prendra-t-il le relais ?... Pour le plaisir, intact et toujours renouvelé, de réveiller l'eau qui dort.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
Lara entame un stage en psychiatrie d’addictologie, en vue d’ouvrir ensuite une structure d’accueil pour jeunes en situation d’addiction au numérique...
Un douloureux passage à l'âge adulte, entre sensibilité et horreur...