Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
Pascal Quignard a passé huit ans de son enfance, de 1950 à 1958, au Havre. La ville à cette époque-là présentait un double visage.
Ce sont d'abord les ruines subsistant après le bombardement du Havre, en 1944. C'est surtout le visage de la "reconstruction" de la ville conduite par l'architecte Auguste Perret.
Ruines et reconstruction sont deux thèmes qui se déclinent dans l'oeuvre de l'écrivain : Le Havre a modelé son rapport à l'espace et au temps : "Je n'ai jamais quitté les ruines du Havre où je marchais enfant poussant la tête contre la force du vent pour me rendre dans les baraquements des petites classes du lycée de garçon" (Les Désarçonnés, p. 32).
Dans L'Estuaire, Pascal Quignard exprime de façon inédite son attachement au Havre.
Cet ouvrage est publié à l'occasion du colloque international « Les Lieux de Pascal Quignard », organisé par l'Université du Havre, et de l'exposition organisée à la Maison du Patrimoine-Atelier Perret par la Ville du Havre.
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