"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
À l'arrêt du tram, le célèbre peintre René Magritte, chapeau boule, costume sombre et pipe au bec, a une vision étrange : une jeune femme en robe fleurie, debout à côté de son corps ! Il en parle à Georgette, son épouse, et immortalise la scène dans un tableau. Quelques jours plus tard, cette femme est retrouvée assassinée, avec une lettre d'amour parfumée dans son sac et un bouquet de lilas sous sa robe. La nouvelle pépite du cosy mystery. De l'humour à la mode belge : pétillant et surréaliste !
Bruxelles le peintre René Magritte célèbre peintre belge, à parfois des visions. René Magritte chapeau boule, costume sombre et clope au bec se trouve à la station du tram quand soudain il a une étrange prédiction, il voit une jeune femme en robe fleurie au dessus de son corp. De retour chez lui il en parle à son épouse Georgette et il va figé sa vision dans une peinture. Son épouse Georgette se montre très jalouse de cette toile.
Quelques jours plus tard une jeune femme est retrouvé morte avec une lettre d’amour parfumée dans son sac et un bouquet de lilas sous sa robe. René Magritte découvre cette nouvelle dans un gros titre dans un journal annonçant le meurtre de la jeune femme poignardé.
René, aidé de Georgette, décide de mener l’enquête.
Nom d’une pipe est le titre d’une toile du célèbre peintre. Nadine Monfils nous fait vivre une enquête palpitante, une pépite drôle, loufoque. Un Duo remarquable entre les époux, car Georgette le secondera et saura parfaitement l’orienter dans ses recherches.
Quelle belle surprise que ce cosy mystery ! Pas très convaincue au départ, je me suis laissée tenter par le prix promotionnel découverte d'une grande librairie.
Cette plongée dans le temps où Bruxelles brussellais comme disait le grand Jacques m'a apporté un très agréable moment de lecture. Nous suivons René Magritte et son épouse dans une enquête aussi surréaliste que les œuvres du grand maître.
Les notes de bas de page m'ont parfois agacée, mais tout le monde ne peut pas avoir une culture de "zinneke" ou encore "rue Haute rue Blaes" (batard donc) comme moi, donc j'imagine qu'elles sont indispensables pour beaucoup de lecteurs.
Cela m'a même donné envie d'aller visiter le musée Magritte près de la Place Poelaert et son célèbre Palais de justice monumental, de retourner boire une bonne Kriek au Roy d'Espagne et d'aller traîner Place Sainte-Catherine, des fois qu'un vendeur de caricoles y proposerait encore ses délices aux saveurs de ma jeunesse bruxelloise.
Une belle découverte que cette lecture, avec une auteure, Nadine Monfils, qui a une belle plume et beaucoup d'humour. Sans avoir eu l'impression de lire le roman policier du siècle, ces 280 pages ont été un réel moment de plaisir. L'ensemble est découpé en de courts chapitres permettant de faire des pauses sans gêner la narration.
J'ai beaucoup aimé l'idée du couple d'enquêteurs en herbe, à savoir René Magritte et sa femme Georgette le tout dans une ambiance très belge puisque l'intrigue se déroule à Bruxelles, patrie du célèbre peintre. Nadine Monfils nous propose un René Magritte fort sympathique qui a toujours rêvé d'être détective et qui ne manque vraiment pas de légèreté. Elle nous fait également voyager à travers les œuvres du peintre et donne envie de s'y pencher davantage.
L'intrigue policière est très réussie avec du suspense, qui nous tient en haleine, le tout servi par un humour vraiment décapant sans tomber dans l'absurde. J'ai ressenti parfois une petite touche d'Agatha Christie, avec un charme suranné. Ce roman est aussi l'occasion de découvrir la ville de Bruxelles à travers certaines descriptions, ce qui change aussi comme cadre d'intrigue.
A tester de toute urgence.
Une lecture bien sympathique qui avait un petit goût de "meurtre à l'anglaise façon Bruxelloise".
Oui, dit comme ça on n'y comprend pas grand chose...
Notre maître de cérémonie, détective sur le retour qui vit sa passion des intrigues en menant une véritable enquête, n'est autre que le grand peintre Magritte et son épouse, la bien futée et malicieuse, Georgette.
C'est une intrigue tout en finesse, et parfois en longueur quand on s'attarde sur la vie du couple et leurs amis, qui nous permet de comprendre comment et pourquoi deux femmes ont été assassinées.
Si parfois je me suis senti ralenti, le déroulé n'est pas poussif non plus, c'est avec un certain plaisir quand même que l'on avance vers le fin mot de l'histoire.
Quand je disais que c'est une intrigue anglaise avec un goût bruxellois c'est qu'on y retrouve les éléments clés du genre tout en progressant, en flânant et en rencontrant cette belle ville et ces habitants.
Du plus humble au plus célèbre comme le très grand Jacques Brel.
La conclusion était intéressant même si d'une certaine façon je voyais arriver les ennuis rencontré par le téméraire Magritte.
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