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Tout est vrai mais tout est faux.
Ou plutôt, tout est faux mais tout pourrait être vrai. En tout cas, Mozart n'a pu que rencontrer Joseph Garnier lors de son séjour à Paris en 1778, puisqu'il était hautbois solo de l'orchestre du Concert spirituel. Il joua donc sa Symphonie parisienne sous sa direction - historiquement, il ne peut en être autrement. Dès lors, comment ne pas imaginer que Garnier, le sauveur de l'école française de hautbois sous la Révolution, n'ait pas été bouleversé par la découverte de cette musique ? Et par suite, qu'il n'ait pas soutenu Mozart, seul dans Paris à la mort de sa mère, qu'ils n'aient pas tissé de liens, que Mozart ne lui ait pas transmis ses manuscrits, qu'ils n'aient pas cherché à se revoir.
Voilà pourquoi, par-delà un engagement musicologique permanent, Garnier m'est apparu comme le témoin idéal d'un face à face fondé sur le partage de l'émotion et la mise en lumière d'un cheminement intime.
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