L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
A l'ombre de la vie, la mort se trame. Entre le néant d'où l'on vient et le néant où l'on va, le travail de vie tisse et renoue sans cesse ce que les forces de déliaison ne cessent de défaire... jusqu'à ce qu'elles finissent par gagner la partie. Face visible de la vie, l'expression, sous toutes ses formes, témoigne de cette constante interaction entre la vie et la mort : construction et déconstruction y sont ensemble à l'oeuvre que ce soit pour déjouer ou pour rejouer la scène spéculaire, endiguer l'effraction du traumatisme ou médiatiser la menace qui pèse sur l'être et faire obstacle au néant. Si la vie est bien ce "plus long détour possible vers la mort" dont parle Freud, si la vie est bien "l'ensemble des forces qui résistent à la mort" dont parle Claude Bernard, quel repérage nous permet le concept paradoxal de "pulsion de mort" que Freud a laissé à notre perplexité ?
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