"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Dresde, juillet 1950. Dans un hôpital psychiatrique, un homme délire, victime d'hallucinations et d'une phobie des insectes. Ce patient se nomme Herbert Anwaldt. Il a été l'assistant du conseiller criminel Eberhard Mock, chargé d'enquêter sur une affaire qui s'est déroulée en 1933. Cette année-là, trois cadavres sont découverts dans le train Berlin-Breslau, dont celui de la jeune aristocrate Marietta von der Malten. Son corps mutilé et fourré de scorpions est orné d'une inscription annonçant une malédiction et une vengeance dont les origines semblent se perdre dans la nuit des temps. L'enquête prouvera que l'Histoire ne fait que se répéter et que ses fantômes ne sont jamais loin... Quatrième volet des aventures de Mock, La mort à Breslau est une remarquable description d'une ville, mais également d'un pays - l'Allemagne -, où s'installe l'hitlérisme.
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