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Dans l'un de ses premiers textes, Pascal désigne Montaigne comme " l'incomparable auteur de L'art de conférer ".
Il suggère ainsi que le chapitre VIII du livre III des Essais qui porte ce titre est essentiel, et rayonne toute la sagesse chrétienne de Michel Eyquem. Dans ce livre III, Montaigne s'occupe un peu plus précisément de lui-même. Il s'y dit humaniste dans un sens tout charitable : " Mon être se construit au contact des autres hommes... des proches que Dieu nous donne. " Car Montaigne n'est pas un chrétien humanitariste à la mode " déstructurée " d'aujourd'hui.
Pour lui, comme pour saint Augustin (celui du De agone christiano), la vie du chrétien est un combat héroïque, mais c'est aussi, par là même et sans paradoxe, un combat joyeux qui procure un vivre heureusement hautement préférable au mourir heureusement des stoïciens. Voilà l'enseignement capital du troisième livre de Michel Bouvier: la joie qu'il y a à chercher vigoureusement la sagesse, c'est-à-dire à chercher son âme véritable et la vérité qui y siège.
Avec Montaigne, le chrétien doit donc essayer d'être fort... car c'est cet essai même qui rend fort.
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