"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Joumana Haddad propose de libérer la civilisation arabe par le corps. Elle se bat, à travers son écriture, pour plus de liberté individuelle, et pour une complète libération des moeurs. Elle le fait avec courage, affirmant sans une once de culpabilité, être bien dans sa peau de femme libre, malgré les intégristes de tous bords, malgré l'hypocrisie des uns, la lâcheté des autres, et les menaces de certains. Dans Miroirs des passantes dans le songe, Joumana Haddad convoque des poétesses qui se sont suicidées, des femmes qui ont joué leur peau en poésie, tout en se sentant, dans leur quotidien formaté, prisonnières de leur corps de femme. Elle les convoque en « amie », soeurs de combat venant de tous les pays (Venezuela, Argentine, Suède, France, Allemagne, Italie, Portugal.) pour porter sa parole hors de la contextualisation arabe, bien au-delà des frontières, quelles qu'elles soient.
Ainsi s'adresse-t-elle, du Liban, au monde entier.
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