"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Depuis sa création au milieu du XVIe siècle, les souverains cherchaient à rassembler des oeuvres d'art (artificialia) mais aussi des appareils scientifiques et des livres (scientifica), des produits rares de la nature (naturalia) et des objets qui ne provenaient pas d'Europe. Ainsi les objets ethnographiques (ethnografica) parvenus en Europe par le biais des routes commerciales mondiales, connurent un réel succès bien au-delà des frontières saxonnes.Le cabinet d'art de Dresde fut l'un des premiers d'Europe à ouvrir ses portes au grand public. Étudiants, artistes et chercheurs mais aussi simples artisans, commerçants et familles le visitèrent pour y étudier les objets exposés, les admirer et s'en inspirer. Considéré comme un lieu de savoir, cette fonction lui valut le nom de « cabinet des curiosités ».Beaux Arts Éditions revient sur l'histoire de ce cabinet de curiosités, et présente les plus belles oeuvres exposées du xvie au xviiie siècles, reflétant ainsi parfaitement les multiples facettes mondiales et les procédures d'échange culturel.
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