Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
« On a compris que la modernité photographique, urbaine le plus souvent, des oiseaux de Sylvain Girard, n'est pas seulement un geste esthétique majeur, une belle signature plastique mais aussi un acte de courage car ils s'inscrivent à rebours de toute la tradition franciscaine des gentils, des jolis, des innocents oiseaux. Aucune sensiblerie chez lui. Pas de lamento. Pas de lyrisme. L'oiseau pour lui n'est pas un objet poétique au sens où Audiberti entendait le mot, et le méprisait ; il voulait parler de la poésie attendue, apprise, facile, sentimentale, celle comme il disait qui est de « l'ordre du chat, de la lune et du violon », celle qui relève de cette « poet-poeterie », dont avec son ami Georges Perros, goguenard et pouffant de rire, il se moquait gentiment. » (Marc Le Gros)
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
Des idées de lecture pour ce début d'année !
Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
A gagner : la BD jeunesse adaptée du classique de Mary Shelley !