"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
" Chapitre I : "Il adorait New York.
Il l'idolâtrait au-delà de toute mesure" - Non ! Si je mettais plutôt : "Il en avait une vision romantique au-delà de toute mesure. Pour lui, quelle que soit la saison, New York semblait n'exister qu'en noir et blanc, et ne vibrer qu'au rythme du grand George Gershwin." - Non, il vaut il vaut mieux que je recommence... Chapitre I : "Il voyait Manhattan avec trop de romantisme, comme tout le reste d'ailleurs, le tohu-bohu de la foule et des voitures lui convenaient à merveille.
Pour lui, New York, c'étaient des femmes superbes et des mecs à la coule..." - Non, c'est ringard, trop ringard à mon goût. Allez, réessayons un cran au-dessus. Chapitre I : "Il adorait New York, même si pour lui, c'était une métaphore du pourrissement de la culture contemporaine. Ah, quelle difficulté d'être dans un monde désensibilisé par les drogues, les sonos hurlantes, la télévision, la violence, les ordures..." - Trop agressif.
Je ne tiens pas à faire agressif. Chapitre I : "Il était dur et romantique comme la ville qu'il aimait. Derrière ses lunettes noires, il cachait la puissance sexuelle d'un félin de la jungle - J'adore ça ! New York était sa ville et le resterait à jamais. " " Manhattan, 1979, réalisé par Woody Allen en noir et blanc, sur un scénario co-écrit avec Marshall Brickman, avec Woody Allen dans le rôle de l'écrivain Isaac Davis et Diane Keaton dans celui de Mary Wilke.
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