L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Au commencement, elle mord puis elle brûle.
L'ironie ne laisse pas indifférent, qu'elle siffle comme une balle ou déchaîne des tempêtes sur les vies les plus rangées. Ce qu'on nomme ironie du sort. Malveillante, cruelle, assassine - elle a sa part dans la condamnation à mort de Socrate - l'ironie a mauvaise réputation. Et pourtant, sa vocation est la recherche de la Vérité, de toutes les vérités. Dans sa dialectique, elle renverse les certitudes, les conformismes et l'ordre établi.
Elle interroge (du grec eironia, interrogation) l'homme dans son devenir, lui offre des points de vue décalés, l'élève et lui fait oublier ses petites misères. Joueuse, joyeuse, grave, l'ironie déploie, entre humour et cynisme, des perspectives obliques et cavalières. Libre et pudique, l'ironie est une conduite de vie. Une résistance contre la lourdeur et la prétention de notre époque. Cet ouvrage a été dirigé par Cécile Guérard.
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