L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Depuis Jérusalem, Pascaline Magnes partage une partie de son quotidien avec ses proches restés en France. Elle écrit au jour le jour, au fil de ses émotions, d'abord pour raconter, ensuite pour témoigner, peut-être bien pour survivre finalement. Ses yeux se posent sur cette ville qui ne cesse de la surprendre et son coeur vit au rythme de ses questionnements, peurs, émerveillements, coups de gueule ou désespoirs. Quand on a vingt-cinq ans et qu'on débarque à Jérusalem, « on se prend une sacrée claque. Il n'y a plus de gentils ou de méchants, tout devient gris... Jérusalem, je ne sais pas si c'est ce qui m'a fait tout comprendre sur le monde ou au contraire si c'est ce qui a rendu le monde complètement incompréhensible à mes yeux. Les deux j'imagine, mais alors c'est triste. »
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