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«Quand une enfant pleure, c'est la Terre qui tremble »...
« Il faut nous aimer encore et toujours ». S'il devait y avoir un fil rouge dans les poèmes de ce recueil, écrits entre 1975 et 2022, à Paris, à Marseille ou ailleurs, ce serait l'amour comme antidote puissant à la tristesse, aux larmes, aux sanglots, aux regrets, à la honte, à la mélancolie, à la peur.
S'aimer encore et toujours à travers des corps réunis, la jouissance, le don de soi, la fidélité, la beauté, l'amour. « Sur tes parois je glisse sans corde ni rappel ». L'amour comme élan vital.
« Se peut-il qu'un semblant d'amour vienne se poser sur les fleurs quand auront éclos les jours où sécheront enfin nos pleurs ». Entre espoir et désespoir, désir et nostalgie, haine et désenchantement du monde des faux-semblants et des conventions, il célèbre l'amitié, l'enfance, l'amour et le désir.
En jouant avec les mots, en en créant d'autres, à travers mille émotions et sensations, c'est sur ce chemin que Jean-Louis nous convie. Il faut nous aimer encore et toujours...
Didier Landau
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