Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
Cette somme imposante et importante aborde par le biais du vocabulaire tous les problèmes de fonds (problème de définition, de terminologie de sidas, stella etc.).
Il n'existe pas, à proprement parler d'astronomie romaine, et le seul astronome connu à Rome (C. Sulpicius Galus, c. 170 a.C.) ne peut prétendre à être un scientifique. Les Romains sont débiteurs de la science grecque tant pour la théorie que dans les inventions pratiques (cadrans, horloges etc.).Il est plus juste de parler d'une astronomie " littéraire " (Hygin, certains passages de Virgile, commentaires des Phénomènes d'Aratos par Germanicus) et " philosophique " (Lucrèce, Martianus Capella).
L'engouement des élites et du peuple romain pour cette discipline ne se démentira pas tout au long de l'histoire, car les applications pratiques de l'astronomie sont nombreuses : établissement d'un calendrier civil, repérage des levers et couchers stellaires pour l'agriculture, constructions de cadrans solaires.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
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