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Le XIXe siècle est l'âge d'or du thermalisme en France. Tout le monde prend alors les eaux. Des hommes de lettres, comme Chateaubriand, Lamartine, les frères Goncourt ou Maupassant n'échappent pas à ce phénomène de mode et fréquentent les villes thermales. Balzac y courtise la marquise de Castries, Zola accompagne sa femme curiste, Alain-Fournier y retrouve sa maîtresse... Mais la plupart des écrivains se rendent en cure pour des raisons de santé.Ainsi Daudet et Maupassant y soignent leur syphilis, Chateaubriand ses rhumatismes, Verlaine ses ulcères à la jambe et Proust son asthme.Tous ces écrivains curistes ont témoigné de leur expérience, que ce soit dans leur correspondance ou dans leurs romans, poèmes, récits de voyage.
Les personnages de ces auteurs ont également séjourné dans ces villes thermales - que les eaux jouent un rôle particulier ou non dans l'intrigue de leurs oeuvres. Voici une promenade dans le monde des eaux, vu par les écrivains, entre 1800 et 1914.
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