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Les deux noms d'une frontière : l'expérience de la peinture

Couverture du livre « Les deux noms d'une frontière : l'expérience de la peinture » de Fabien Claude aux éditions Jacques Flament
Résumé:

« La conversation comme conservatoire. Le jeu de mots, dans ce resserrement, comme érotisation d'une signification. L'idée serait séduisante si la peinture, dans ses jeux de formes, dans sa virtuosité, dans cet entre-deux, ne s'était pas, par la force des choses, écartée d'une décence, d'une... Voir plus

« La conversation comme conservatoire. Le jeu de mots, dans ce resserrement, comme érotisation d'une signification. L'idée serait séduisante si la peinture, dans ses jeux de formes, dans sa virtuosité, dans cet entre-deux, ne s'était pas, par la force des choses, écartée d'une décence, d'une pudeur. Si elle n'avait pas, par un effet de dévoilement brutal, levé son suaire sur une fosse commune. » « L'humain n'est ni dans la peinture ni dans l'écriture, mais à cette limite qui possède les deux noms d'une frontière. » La peinture excède son croissant, sa mutilation, son éclipse. La mort de la peinture n'est pas une découverte, doit être complétée en excès par une face cachée, un dehors. Il ne sera donc question, dans ce texte, que de ce qui est impossible à la peinture, impossible à sa mort : son visage.

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