"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Au printemps de 1689, le poète Matsuo Basho quitta Edo pour le Nord. C'est de ce "pèlerinage vers des lieux lointains" qu'est né son plus beau livre, {la Sente étroite du bout du monde}. Quand, trois siècles plus tard, Kenneth White quitte Tokyo pour Hokkaïdo, il a le voyage de Basho en tête. {Les Cygnes sauvages} est un hommage au poète japonais, et plus encore l'exploration d'un espace où le rapport entre nature et culture est particulièrement subtil. A mesure que progresse le livre, White sort des cadres littéraires qui ont longtemps défini notre culture. Le terrain parcouru, les territoires traversés sont matière à projection. Non pas dans l'imaginaire, mais dans ce qu'il appelle "le géopoétique". Ce carnet japonais complète les pérégrinations asiatiques de White, celle du {Visage du vent d'Est}, et constitue le parallèle, à l'Est, de sa {Route bleue} de l'Ouest. Le voyage de Kenneth White a fait l'objet d'un film de François Reichenbach, {le Chemin du Nord profond}.
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