Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
À décliner les «fantômes» enfantins de la séparation - le divorce, le pensionnat, la mort, la prison, le placement, l'abandon encore -, on s'aperçoit vite que le mal est profond. Ballotté quelquefois de services juridiques en institutions sociales, trop jeune, l'enfant n'a pas la possibilité de dire sa détresse, ou seulement ses voeux. Alors, comment «panser» l'oubli, la disparition ? Quelle part donner au coeur ? et à l'esprit ? Face à des situations complexes et parfois inextricables, le droit tente de répondre aux difficultés d'ordre privé. La machine publique s'est vue à son tour sollicitée face à la maltraitance, à la violence, au refus d'un droit de visite : le remède initial fut la séparation temporaire, voire radicale, du parent fautif. Mais l'action sociale repart aujourd'hui dans la bataille avec des idées bien plus nuancées : les enfants ont besoin de leur histoire, et la présence du père comme celle de la mère sont plus nécessaires que jamais dans la construction de leur identité. Même douloureux, le lien est désormais préférable au manque.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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