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La Judée antique n'est pas un pays entièrement et exclusivement tournée vers des considérations d'ordre religieux. Les judéens y vivent pleinement à tous les niveaux : matériel, professionnel, affectif, psychologique, social. Ces différentes activités ont réclamé une préparation, donc une formation préalable, en un mot, une éducation. Quelles formes a revêtues cette éducation ? Quels en ont été les contenus ?
Et ceci, à supposer que l'éducation judéenne ait présenté toujours le même visage. Or on peut, à présent, affirmer que l'éducation collective publique n'est née que sous le règne de Salomé (74 à 63 av. JC environ) avec des contenus précis, des méthodes, une organisation, des équipes de maîtres. Avant cette date, c'est au hasard des relations plus ou moins fortuites entre les travailleurs qu'elle est assurée. De plus, on ne peut placer dans la même rubrique l'éducation réservée au peuple et celle assurée aux élites.
Et, surtout, quelle idée de l'homme les législateurs de ces temps ont ils tenté de transmettre par l'éducation ? Se soumettre à la moralité ambiante ? Répondre aux sollicitations sociales et matérielles de leur temps ? Est-ce que le Pentateuque, comme tel, est intervenu dans l'élaboration des contenus comme des méthodes ?
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