Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
La préface que Jacques Lacan rédige en 1974 pour la pièce de Wedekind, L'Eveil du printemps, est comme il se doit un hommage à l'auteur. On se tromperait cependant à ne pas y voir plus loin, car ces trois petites pages ne mobilisent rien moins que ses thèses les plus complexes sur le sexe, la langue, l'Homme, le nom propre, les Noms-du-Père, La femme - et sans le moindre didactisme. D'étonnement en étonnement, une lecture d'élucidation s'imposait, que tente Colette Soler.
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