Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Le Testament d'Orphée (1960) est un film de poète, c'est-à-dire qu'il est indispensable, bien que je ne sache pas à quoi.
Mais plutôt si : indispensable à notre cinéma français qui ne manque pas en ce moment d'hommes de talent, mais a cette sorte de défaut, ou de manque, qui est justement la poésie. Ce qui ne passe pas de mode, ce qui n'est pas lié à une mode, ni à un style, mais à une pauvreté tournée en richesse, à une boiterie devenue dense, en bref, un heureux dénuement. Le poète, avant tout, doit réinventer la simplicité, le réalisme, et Cocteau réinvente le documentaire, de même que Franju; du côté de chez Fritz Lang, le plan fixe.
Tournage à l'envers, ralenti, apparitions et disparitions au tour de manivelle, autant de renvois à la prise de vue directe qui permet seule de tels tours et ne se laisse jamais oublier. Ainsi naît l'art d'inventer des images durables.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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