Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
L'oeuvre de Joyce Mansour est la manifestation foudroyante du principe des « vases communicants » : imprégnation de l'écrit par les blessures de la vie tapies dans l'inconscient ; empreinte du désir, de la mort, d'un souffle vital indomptable. Parallèlement, elle témoigne de l'emprise du visuel sur son écriture de chair en érigeant ce « miroir du désir » qui installe une résonnance intime entre sa poésie et les oeuvres de ses amis artistes. Dans leurs collaborations, ils se subliment, se commentent, et s'illustrent. À leur façon, ils partagent les mêmes angoisses, commettent les mêmes transgressions, exercent la même liberté. L'art et l'écrit se répondent. Ce « miroir du désir » est à la fois singulier - l'expression de la destinée d'une poétesse hantée par la mort et ses traumatismes - et collectif, puisqu'il semble répondre au paysage fantasmagorique d'une génération assoiffée de liberté.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
Lara entame un stage en psychiatrie d’addictologie, en vue d’ouvrir ensuite une structure d’accueil pour jeunes en situation d’addiction au numérique...
Un douloureux passage à l'âge adulte, entre sensibilité et horreur...