Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Au sein du Nom de la rose d'Umberto Eco, on assiste à un glissement du niveau narratif où s'élabore avec rigueur une matière romanesque vers un niveau propre à la réflexivité grâce auquel les stratégies métatextuelles dévoilent la logique organisatrice du texte. Le problème n'est donc plus l'objet littéraire lui-même, mais la façon dont le sujet le construit, le structure, le modifie. En fait, cette construction est soumise au principe de la réflexivité véhiculé par un système d'emboîtement où le sujet observe le monde (celui du livre) dans lequel il observe le monde (celui de la réalité).
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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