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Marché noir, marché gris, marché brun et même marché blanc furent des termes très en vogue en France pendant la Seconde Guerre mondiale.
Du fait d'une raréfaction croissante de nombreux produits de consommation courante, les marchés officiels à des prix taxés cèdent rapidement le pas aux marchés parallèles. Certains producteurs et commerçants, mais aussi des trafiquants, gros et petits, vendent à des prix très rémunérateurs. Citoyens argentés, mais aussi petits débrouillards s'arrangent de ce système, mais pour ceux qui sont hors de ces circuits, la vie est très difficile.
Région nourricière, productrice de denrées contingentées, à l'exemple du beurre et de la viande, la Normandie développe un marché avec les régions déficitaires, en premier lieu Paris et sa banlieue. Conséquence de l'occupation allemande, le marché noir marque l'échec de la politique économique dirigiste du gouvernement de Vichy.
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