"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Lahore, 1947. Dans un pays déchiré par les rumeurs de partition, Nina, la fille d'un officier britannique, tombe éperdument amoureuse du meilleur ami de ses parents. Aventurier élégant et cynique, Jack O'Hara n'a d'yeux que pour sa mère, une Indienne d'une subjuguante beauté. L'adolescente rôde autour de cet étrange trio, dont elle menace l'équilibre fragile. Jusqu'à ce que tout bascule...Quatre ans plus tard, Venise s'apprête à célébrer ce qui restera dans toutes les mémoires comme « Le Bal du Siècle », où l'excentrique Charles de Beistegui a convié tout ce que la planète compte de stars, d'hommes de lettres et de milliardaires. Perdue dans cette foule brillante, Nina attend Jack qu'elle n'a pas revu depuis son départ de l'Inde. Mais les masques cachent de dangereux sentiments, et lorsqu'ils finissent par tomber, la vérité se perd dans les eaux noires de la lagune.De l'Inde des maharadjahs aux ors du Palazzo Labia, Stéphanie des Horts, l'auteur de La Splendeur des Charteris, explore à travers l'histoire d'une éducation sentimentale troublante, les affres d'une passion vénéneuse et ambigue, où le destin d'une jeune fille embrasse les tumultes de l'Histoire.
Mon cœur d’éternelle midinette a vibré au fil de cette histoire aussi dépaysante que romanesque. Tout y est, tout ce que j’aime en tout cas !
Nina, une jeune et belle aristocrate anglo-indienne qui aime semer la zizanie autour d’elle. Et quoi de plus efficace que de tomber amoureuse du meilleur ami de son père, officier de la marine britannique, pour instiguer le trouble ?
L’heureux élu se nomme Jack O’Hara. C’est un aventurier qui aime éperdument la mère de Nina, une indienne à la beauté piquante.
Cet imbroglio amoureux se déroule en 1947, en pleine partition de l’Inde.
Quatre ans plus tard, Stéphanie des Horts nous invite à un bal costumé :
« Avec des gentilshommes désaxés et des princesses de pacotille qui se prennent pour des « héroïnes hollywoodiennes ".
Direction Venise. Le palazzo Labia, en haut du Grand Canal. Là où, en septembre 1951, Charles de Beistegui reçoit plus de 1.500 invités venus de New York, Paris, Londres et Rio. Des acteurs, des mécènes, des couturiers, des photographes, des milliardaires, des écrivains. L'aristocrate cosmopolite aux cheveux blancs et aux yeux bleu acier traque l'esprit des Lumières, offre caviar et champagne.
On se prend à rêver aux décors de la Sérénissime.
On se prend à rêver à une danse dans les bras d’un bel inconnu.
Sauf que Stéphanie des Horts nous offre une histoire beaucoup plus sombre.
Avec un grand souci des détails l’auteure nous emmène dans une aventure haletante où la petite histoire rejoint la grande.
Une belle lecture.
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