Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
Essai sur les figures de la mort omniprésente dans la peinture de la Renaissance italienne à travers les écrits sur l'art. Dans les biographies, les lettres, les traités, dont les auteurs sont souvent des artistes (Alberti, Vasari, Lomazzo..) mais aussi des lettrés (Doni, L'Arétin, Dolce...), l'auteur montre l'ambivalence que suscite la représentation du trépas. D'abord représentée de manière narrative tandis que parallèlement les approches symboliques ou allégoriques se raréfient, l'image de la mort se dédouble, comme si deux imaginaires entraient en concurrence. Une nouvelle lecture des pratiques artistiques du Cinquecento.
Quels liens l'art et la mort entretiennent-ils à la Renaissance ? Comment montrer la mort en peinture ? Quelles sont les oeuvres les plus exemplaires produites en Italie ? Afin d'apporter quelques éléments de réponse, l'auteur s'est appuyé sur la littérature artistique des XVe et XVIe siècles. Le rassemblement des textes a permis de dégager les enjeux théoriques de la figure de la mort, de détecter les types figuratifs prônés par les théoriciens , et de repérer les oeuvres les plus célébrées à la Renaissance. L'enquête débouche sur un constat surprenant : au trépas individuel réfléchi par la peinture s'oppose la Mort universelle dans les oeuvres éphémères et la gravure, comme si deux imaginaires entraient en concurrence.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
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