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L'expression « âge d'or de la diplomatie algérienne » revient souvent sous la plume des acteurs, des témoins ou des historiens pour qualifier la politique extérieure que mena l'Algérie entre son accession à l'indépendance, en juillet 1962, et la fin des années 1970. Trois hommes vont conduire cette diplomatie : Ahmed Ben Bella, président de la République (1962-1965) ; Houari Boumediène, président de la République (1965-1978) ; Abdelaziz Bouteflika, ministre des Affaires étrangères (1963-1978).
Cet « âge d'or de » s'inscrit dans un contexte dominé par la Guerre froide, par la dégradation des relations franco-algériennes, par deux conflits au Moyen-Orient - la guerre des Six-Jours en 1967 et la guerre du Kippour en 1973. C'est également l'époque des dernières grandes figures des révolutionnaires tiers-mondistes, d'Ernesto Che Guevara (Cuba) à Nelson Mandela (Afrique du Sud), de Amilcar Cabral (Guinée-Bissau et Cap-Vert) à Samora Machel (Mozambique).
Quels sont les succès, les revers de cette riche période de la diplomatie algérienne? Quelle est la philosophie, ou l'idéologie, qui la sous-tendent? Le ministère français des Affaires étrangères et plusieurs personnalités algériennes ayant mis leurs archives à la disposition de l'auteur, il apporte un éclairage nouveau, des informations inédites à tous ceux qui s'intéressent à la place de l'Algérie dans le monde.
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