L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Comment dire la perte quand le monde dont vous êtes issu se défait ? Quand concilier un présent chaotique avec la tentative de l'absolu réveille l'urgence de la poésie ? Dans ses poèmes, Tigrane Yégavian donne vie à un réel de plus en plus fragmenté. Il se souvient de ce qui a été et de ce qui n'est plus. Chante l'Amour et ses saisons, la mémoire d'un Orient délesté de toute fioriture exotique où l'enfant, l'adolescent et le jeune adulte a reçu une part de son éducation ; Lisbonne et le Portugal, sa terre d'Enfance ; la représentation plurielle d'une Arménie de plus en plus insaisissable. Tous ces lieux sont autant de territoires poétiques inviolables qu'il se plaît à revisiter mêlant gravité et légèreté, en témoin amoureux. Lucides sur la tragédie, ses poèmes n'en demeurent pas moins porteurs d'une espérance.
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