"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
En Mésopotamie, les temples n'étaient pas uniquement la demeure des dieux. Ils accueillaient certes une statue de la divinité à laquelle ils étaient dédiés et dont plusieurs prêtres devaient s'occuper. Mais une relecture attentive des différents témoignages qui nous sont parvenus, aussi bien archéologiques que textuels, permet à l'auteur de montrer que les temples revêtaient également différentes fonctions dans la vie publique de la cité. Ainsi les temples de Shamash, dieu de la justice, fonctionnaient comme des tribunaux ; ceux de Gula, déesse de la santé, comme des centres de cure, ceux de Nabu, dieu de l'écriture, comme des bibliothèques ; ceux d'Ishtar, déesse de l'amour, comme des temples de l'amour !
Dans la Mésopotamie antique, toute réalité avait une dimension religieuse et rien n'était étranger aux divinités.
Celles-ci ne doivent pas être considérées comme des entités éthérées vivant loin des hommes et de leurs préoccupations.
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