Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
En Mésopotamie, les temples n'étaient pas uniquement la demeure des dieux. Ils accueillaient certes une statue de la divinité à laquelle ils étaient dédiés et dont plusieurs prêtres devaient s'occuper. Mais une relecture attentive des différents témoignages qui nous sont parvenus, aussi bien archéologiques que textuels, permet à l'auteur de montrer que les temples revêtaient également différentes fonctions dans la vie publique de la cité. Ainsi les temples de Shamash, dieu de la justice, fonctionnaient comme des tribunaux ; ceux de Gula, déesse de la santé, comme des centres de cure, ceux de Nabu, dieu de l'écriture, comme des bibliothèques ; ceux d'Ishtar, déesse de l'amour, comme des temples de l'amour !
Dans la Mésopotamie antique, toute réalité avait une dimension religieuse et rien n'était étranger aux divinités.
Celles-ci ne doivent pas être considérées comme des entités éthérées vivant loin des hommes et de leurs préoccupations.
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Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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