L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
La Renaissance évoque dans l'esprit de beaucoup de nos contemporains les thèmes latins et les dissertations sur la volonté maîtresse des passions, la peinture académique dans les règles de la représentation en perspective, qui faisaient l'homogénéité culturelle des bourgeoisies européennes à la veille de la Première Guerre mondiale.
Que les institutions éducatives en aient fait, pendant des siècles, la référence instrumentalisée de la soumission disciplinée aux normes collectives, est une réalité historique qui justifia l'un des mots d'ordre de la révolte juvénile de 1968 : " La grammaire est fasciste. " De fait, la pire trahison de la Renaissance fut, est toujours, de la sacraliser. Pour qui l'aborde avec la fringale de connaissance, la curiosité aiguisée et surtout l'irrespect critique des érudits, des artistes, des croyants de l'époque, une image bien différente s'impose.
L'Europe a vécu, pendant les deux à trois générations de la Renaissance, une mise en cause de toutes les institutions, de toutes les autorités et certitudes admises, qui est un moment merveilleux de sa longue histoire. C'est le grand et joyeux chambardement déclenché par Lorenzo Valla, Michel-Ange et Martin Luther, que veut faire découvrir ce livre.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle
Dans ce recueil de 13 nouvelles, la jeune autrice mexicaine frappe fort mais juste
Une fiction historique glaçante et inoubliable, aux confins de l’Antarctique