Alice a quatorze ans quand elle est hospitalisée : un premier roman foudroyant
La Mort quotidienne est une méticuleuse chasse aux signes et aux sensations de la mort dans le corps même de l'écrivain. « Je m'épie et m'écoute » déclare Alexandre Bonnier dans l'une des cinquante-cinq séquences qui composent l'ouvrage. Mais il s'agit-là d'une écoute qui tourne le dos au réalisme et à l'anecdote ; à tout épanchement. On y atteint le coeur de la littérature grâce à la constante liberté du ton, à l'acidité dandy : à un humour décapant qui pourrait faire penser à celui du Maurice Roche de Maladie Mélodie. Un désespoir vibrant et tonique anime ces pages et fait de ce livre sur la mort un véritable art de vivre avec sa pratique inséparable de sa philosophie.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Alice a quatorze ans quand elle est hospitalisée : un premier roman foudroyant
Yeong-ju est l’heureuse propriétaire d’une nouvelle librairie, située dans un quartier résidentiel de Séoul...
Un moment privilégié avec l’auteur de la bande dessinée "Azur Asphalte" : attention, places limitées !
Un premier roman époustouflant de maîtrise et d'originalité