L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
« Où se trouve la mémoire du commencement ? Dans quelle branche de l'arbre, au fond de quel nid ? Dans quelle généalogie des aïeuls, dans quels glaïeuls de l'élégie ? Dans quelle espérance semée aux cinq continents et aux quatre vents ? » D'un prologue « improbable » aux limbes du souvenir capricieux, La Mémoire en branches se dilate entre souvenirs francs de l'enfance et reconstructions de l'autofiction et de la poésie en prose ou en vers. L'écriture creuse jusqu'aux limons des origines pour tenter de combler les interstices d'une mémoire chancelante, en devenir ou en perdition. Convoquant sa propre naissance, elle poétise la légende familiale. La terre natale grimpe aux branches lumineuses de la généalogie. Arborescence de la rêverie, attendrie et amusée. En quelques fragments de ce récit d'enfance, l'anecdote disparaît sous l'emprise poétique qui donne sa légitimité au « discours autobiographique ».
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