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La marginale

Couverture du livre « La marginale » de Bruno Papet aux éditions Traboules
  • Date de parution :
  • Editeur : Traboules
  • EAN : 9782915681895
  • Série : (-)
  • Support : Papier
Résumé:

Bruno, l'auteur de " La Marginale ", durant les années 70 à 90 à l'époque de " Lyon Chicago " (ça flinguait facile dans les milieux chauds), était flic à la PJ de Lyon, inspecteur de police à " l'anti-gang " (Groupe de Répression du Banditisme et Brigade de Recherches et d'Intervention de... Voir plus

Bruno, l'auteur de " La Marginale ", durant les années 70 à 90 à l'époque de " Lyon Chicago " (ça flinguait facile dans les milieux chauds), était flic à la PJ de Lyon, inspecteur de police à " l'anti-gang " (Groupe de Répression du Banditisme et Brigade de Recherches et d'Intervention de l'Office Central de Répression du Banditisme).
Durant la même période Michel, son aîné était au grand banditisme lyonnais, " oeuvrant " dans un milieu que Bruno était chargé de réprimer... Leurs revolvers rangés, l'âge aidant et la raison faisant son oeuvre, les frères Papet ont livré leur particularité dans une autobiographie qui a inspiré un long métrage " Les liens du sang" avec François Cluzet et Guillaume Canet. Ils ont persisté dans l'écriture en produisant deux polars rédigés "à quatre mains " (dont " le sang de la colère " aux éditions Les Traboules).
Puis chacun a souhaité s'exprimer individuellement. Durant sa longue carrière de policier de terrain qui lui a permis d'atteindre le grade de Commandant de Police, Bruno, dans sa lutte contre le grand banditisme, s'est vu chargé durant un temps, de poursuivre les voyous sur le terrain du proxénétisme. Si actuellement, le trafic des stupéfiants domine la grande criminalité, à l'époque, les voyous fichés au "Grand Banditisme " avaient presque tous au moins " une fille au tapin ", c'est-à-dire une prostituée sur le trottoir.
Ce qui leur servait " d'argent de poche " mais surtout leur permettait d'être assistés confortablement durant leurs séjours en prison. L'argent " du pain de fesse " (de la prostitution) servait aussi de mise de fonds pour organiser des actions criminelles de grande envergure. Mais il s'agissait encore de lutter contre les réseaux de prostitution sur le plan international. On parlait alors de " traite des blanches ".
Sa compétence territoriale nationale et internationale ont conduit l'auteur à traiter des affaires " très chaudes " ajoutant du piment à ses nombreuses missions et renforçant son expérience.

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