A gagner : la BD jeunesse adaptée du classique de Mary Shelley !
Michael n'a jamais connu d'autre foyer que la Maison de fer, sinistre orphelinat où il s'efforce de protéger son jeune frère, Julian, des autres enfants qui le martyrisent. Lorsque, adolescent, Michael s'enfuit à New York, il est recueilli au sein d'une grande famille du crime organisé et gravit peu à peu les échelons. Vingt ans plus tard, Michael décide de changer de vie et de fonder la famille que Julian et lui n'ont jamais eue. Pour mieux protéger la femme qu'il aime et qui ne sait rien de son passé, il retourne en Caroline du Nord, où vit encore son frère. Là, il découvre bien d'autres secrets, qui l'emportent inexorablement vers le lieu de son enfance qu'il a toujours fui. John Hart a remporté deux fois de suite le Edgar Award du meilleur roman (La Rivière rouge, L'Enfant perdu). Encensés par la critique, ses ouvrages sont traduits dans une trentaine de langues.
Mickaël et son frère Julian ont connu l'orphelinat et dans des conditions assez dramatiques, Julian ayant été victime de harcèlement assez violent. Bien que faible, il a fini par tuer l'un de ses bourreaux et Mickaël, le plus fort des deux, a endossé le meurtre et s'est enfui. Récupéré par un malfrat de NewYork, Otto, il a passé sa jeunesse à tuer. Quand Otto meurt, Stevan, son fils, espère que Mickaël va le seconder mais celui-ci a d'autres perspectives et c'est là que commence l'histoire. Il a rencontré Eléna et souhaite fonder une famille. Stevan ne l'entend pas de cette manière et le poursuit. Mickaël comprend que son frère est en danger. Celui-ci a pourtant été adopté par un sénateur et sa vie semble plutôt paisible. Jusqu'au jour où il est soupçonné de meurtre car des cadavres sont retrouvés près de sa demeure et le rapport est vitre trouvé entre lui et les victimes. Mickaël se met à enquêter, prêt à tout pour défendre son frère.
Peut-être pas de la grande littérature mais un roman très bien mené et qu'on ne lâche plus une fois entamé. J'ai eu des craintes au départ : le héros n'étant pas du bon côté ... Craintes vite dissipées.
Mickaël et son frère Julian ont connu l'orphelinat et dans des conditions assez dramatiques, Julian ayant été victime de harcèlement assez violent. Bien que faible, il a fini par tuer l'un de ses bourreaux et Mickaël, le plus fort des deux, a endossé le meurtre et s'est enfui. Récupéré par un malfrat de NewYork, Otto, il a passé sa jeunesse à tuer. Quand Otto meurt, Stevan, son fils, espère que Mickaël va le seconder mais celui-ci a d'autres perspectives et c'est là que commence l'histoire. Il a rencontré Eléna et souhaite fonder une famille. Stevan ne l'entend pas de cette manière et le poursuit. Mickaël comprend que son frère est en danger. Celui-ci a pourtant été adopté par un sénateur et sa vie semble plutôt paisible. Jusqu'au jour où il est soupçonné de meurtre car des cadavres sont retrouvés près de sa demeure et le rapport est vitre trouvé entre lui et les victimes. Mickaël se met à enquêter, prêt à tout pour défendre son frère.
Peut-être pas de la grande littérature mais un roman très bien mené et qu'on ne lâche plus une fois entamé. J'ai eu des craintes au départ : le héros n'étant pas du bon côté ... Craintes vite dissipées.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force
Sanche, chanteur du groupe Planète Bolingo, a pris la plume pour raconter son expérience en tant qu’humanitaire...