A gagner : la BD jeunesse adaptée du classique de Mary Shelley !
On dit l'« Olympia » de Manet, « La Joconde » de Vinci, ou « Guernica » de Picasso, comme si le lien entre le tableau et son titre allait de soi. Pourtant, identifier l'oeuvre d'art par un « titre » est une pratique récente. Mais est-ce toujours l'artiste qui nomme sa création ? Par quel processus et à quel moment prend forme l'acte d'intituler une oeuvre ? Quel rôle le titre joue-t-il dans sa création et dans sa réception ? La Fabrique des titres répond pour la première fois à ces questions en portant l'enquête dans les coulisses de la création, du XVIIe siècle à nos jours : intitulés personnels des artistes, titres d'ateliers, intitulations de Salon, musée ou galerie, qualifications de circonstance, dénominations fictives, jusqu'au cas paradoxal des « sans-titre ».
Réunissant les meilleurs spécialistes de Courbet, Manet, Gauguin, Rodin, Joan Miró, André Masson, Alechinsky, Cy Twombly, Louise Bourgeois et Gina Pane, le livre aborde une multiplicité de genres allant de la peinture aux arts graphiques, de la sculpture à la photographie, de l'action aux performances.
Un champ de recherche inédit, fertile en découvertes surprenantes, pour comprendre la genèse de ce geste inaugural : donner à l'oeuvre le nom qui la représentera.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
A gagner : la BD jeunesse adaptée du classique de Mary Shelley !
Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force
Sanche, chanteur du groupe Planète Bolingo, a pris la plume pour raconter son expérience en tant qu’humanitaire...