"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
8 juin 1944... La division «Das Reich», forte de quinze mille hommes, deux cent neuf chars et pièces d'artillerie, s'ébranle à Montauban en direction de la Normandie. Entravée dans sa progression par la Résistance, par des opérations de commando et les bombardements de l'aviation alliée, elle va sur son trajet acquérir bientôt une terrible notoriété, en se livrant, à Tulle et à Oradour-sur-Glane, à deux représailles sanglantes dont le souvenir tragique ne s'est jamais effacé. Ces exactions barbares, perpétrées lors d'une phase critique des hostilités, allaient avoir indirectement d'importantes conséquences au niveau stratégique. En effet, si la division «Das Reich» était arrivée à temps sur les lieux du débarquement, elle aurait, selon toute vraisemblance, sinon permis aux forces allemandes de rejeter les alliés à la mer, du moins contribué à différer l'issue de la bataille, retardant du même coup la libération rapide de la France. Quel rôle la Résistance joua-t-elle dans le déroulement de ces événements ? Dans quelle mesure sa participation héroïque freina-t-elle la marche de la division ? Voici l'une des pages les plus douloureuses et les plus extraordinaires de la guerre secrète dont certains épisodes n'avaient encore jamais été racontés.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !