"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Ces écrits de l'artiste Luc Joly (peintre, dessinateur et sculpteur) naissent de ses visites à l'ami Michel Viala, poète et comédien, qui se sont déroulées jusqu'au décès de ce dernier, qui résidait dans la maison de retraite du Joli-Bois. Les deux amis s'étaient retrouvés après les carrières relativement parallèles du théâtre et des Beaux-arts, en abordant un des derniers virages de la vie. De cette rencontre est née cette Dentelle des beaux jours animée par le personnage d'Oscar (un alterego de l'artiste : retraité des Beaux-arts, peintre et penseur, qui avait déjà été protagoniste d'un premier écrit inédit, Les agités du paradis) : depuis des décennies, son créateur Luc Joly interroge l'image du visage, sujet permanent et porteur des sensations, des sentiments et des caractères qui laisse le champ libre à l'expérience d'une géométrie intime, innée et personnelle. On peut considérer ces écrits comme une sorte d'essai sur le bonheur : la nécessité de créer, c'est être conscient d'exister et oeuvrer pour que quelque chose, une vision ou une forme de vie améliorent la société et soi-même.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !