L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Dans «La Conspiration», Prix Interallié 1938, un des rares romans français «réalistes-socialistes» intelligents, qui ne sacrifie jamais la forme, le style, l'humour, la poésie au fond ou à la volonté de prouver - Nizan revient sur sa jeunesse sans la dénoncer mais sans satisfaction attendrie. Son héros, Bernard Rosentbal, est normalien. Il appartient à la haute bourgeoisie juive du XVIe arrondissement, il vit autour de l'avenue Mozart, il pense autour de la rue d'Ulm et de la Sorbonne, contre «La Revue de Métaphysique et de Morale», un peu avec Spinoza, beaucoup pour Marx et Lénine, Entre 1920 et 1930, ce n'est pas si fréquent dans «l'élite» universitaire. Rosenthal veut échapper aux chiens de garde de la philosophie comme aux tranquilles conjurations de la famille. Impérieux, séduisant, pour faire avancer - croitil - la Révolution, il entraîne ses camarades, le lucide Laforgue, l'inquiétant Pluvinage, le timide chartiste Simon, dans un complot présenté comme un acte révolutionnaire décisif...
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