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King Lear est peut-être l'une des oeuvres de William Shakespeare dont le sens et la signification théâtrale ont le plus évolué depuis la première représentation, en 1606, devant Jacques Ier, le nouveau roi d'Angleterre.
À l'histoire de Lear et de ses filles, puisée dans les légendes britanniques, Shakespeare ajoutait celle d'un comte, aveuglé par la traîtrise de ses fils, des scènes où la folie du roi se joint à celle d'un Fou et d'un possédé, et un dénouement d'une surprenante cruauté.
Conçu notamment pour les étudiants préparant le Capes et l'agrégation d'anglais, cet ouvrage s'appuie sur la critique anglo-saxonne pour s'interroger sur la fonction poétique des ajouts du dramaturge. En replaçant la pièce dans son cadre historique, politique et religieux, il propose une lecture précise de l'oeuvre, examinant notamment les liens entre le pouvoir et l'exil, la bâtardise et la possession, la raison et la déraison, la parole et l'espace.
Yan Brailowsky est maître de conférences à l'Université Parix-X Nanterre.
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