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Formé en 1991 par Jonas Renkse et Anders Nyström, Katatonia est le reflet de l'atmosphère ténébreuse qui règne à cette époque en Suède et qui contribue au développement d'un genre musical teinté de nuances gris noir. Hier formation de doom death réservée à quelques spécialistes, désormais groupe de rock/métal aux contours sonores plus modernes et accessibles, Katatonia possède, tel le dieu Janus de la Rome antique, deux visages biens distincts : le premier représente le passé, l'autre l'avenir. La dimension musicale de la formation suédoise ne s'est toutefois jamais départie de la noirceur et de la mélancolie qu'égrène chaque note de sa musique. Une posture idéologique qui, loin de consacrer son succès commercial, a néanmoins conféré à Katatonia un statut de formation emblématique, pour ne pas dire culte, de la scène métal. Après un premier essai sur Opeth, Nicolas Bénard, docteur en histoire, et Robert Culat, prêtre catholique, proposent une nouvelle monographie à quatre mains qui vise à illustrer l'originalité de la scène métal suédoise.
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