"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Dans ce pur joyau du Vedânta, nous assistons à une transfiguration le solitaire devient l'Unique.
Ce dialogue concis, dense et limpide, relate la transmission, de maître à disciple, de la connaissance métaphysique. Au bout de ce passage, les deux interlocuteurs ne font plus qu'un : les notions de " maître " et de " disciple " sont effacées, seule demeure la béatitude du Soi, de l'Un comblé... " Cette Upanishad décrit l " Absoluité ", c'est-à-dire l'état de l'homme qui, sur, la voie du renoncement (tyâga), s'est libéré de tout attachement au monde et qui, en conséquence, sa connaît et se ressent uniquement en tant qu'essence divine, présente en toutes choses.
La beauté de l'Upanishad éclate particulièrement à partir de la strophe 17, lorsque le disciple lui-même commence à parler, exprimant sa -conscience de son identité avec Dieu... " (Paul Deussen) Bien que ce texte soit apparenté au Vedânta, c'est à un auteur spécialiste du Shivaïsme du Cachemire que nous devons la meilleure définition de kaivalya, ainsi que le sous-titre de ce livre. Certes, du Cachemire au Sud de l'Inde, le Shivaïsme connaît des différences d'approche, mais la vérité ultime est Une, kaivalya : " Kaivalya est la solitude comblée, l'exclusivité de l'Un, au moment où, sous l'influence de la grâce divine, l'homme saisit le Soi comme l'absolu qu'il est par nature...
" (Lilian Silburn).
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