"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Détective de renom, Justan Lockholmes est une pointure.
Aucun coupable ne lui échappe et sa vérité triomphe toujours !
Pourtant, lorsqu'une certaine Elisabeth Smith, une jeune femme à la vie des plus banales, met tragiquement fin à ses jours, rien ne va plus.
Un cas insoluble, des éléments sans le moindre sens, un assistant à la vivacité toute relative et une touche de latin.
Voilà que la vie du jeune Justan bascule et que tout se complique !
Justan est apprécié en tant que détective de par ses prouesses mais aussi par les femmes qui ne résistent pas à son charme. Quelques années plus tôt, une jeune femme avait disparue. Justan avait supposé un suicide. Il est appelé maintenant sur une autre enquête, un vol de bijoux. A priori rien à voir, sauf que le nom de la jeune femme est peint en rouge sur le mur de la maison cambriolée. Justan ne réussit pas à faire le lien. C'est ensuite le commissariat qui est incendié. On retrouve cette fois la première lettre de son nom entourée sur le sol. Il est au coeur de l'affaire mais n'y comprend rien. Heureusement que les femmes sont là pour lui venir en aide, le mettre sur la piste d'une secte côtoyée par d'horribles personnages on ne peut pas plus misogynes.
Malgré la gravité du sujet, ce roman reste drôle du début jusque la fin, ce qui rend la lecture très plaisante. La mise en pages est agréable, avec parfois des articles de journaux, des changements de police de caractère...
Dommage que certains éléments de l'enquête abordés restent sans réponses. On devrait les avoir dans le prochain volume. J'ai trouvé aussi que le journal de Madame de Saint-Maure tombait un peu comme un cheveu dans la soupe.
La rencontre avec l'auteure et éditrice fut aussi un moment de pure détente.
Justan est apprécié en tant que détective de par ses prouesses mais aussi par les femmes qui ne résistent pas à son charme. Quelques années plus tôt, une jeune femme avait disparue. Justan avait supposé un suicide. Il est appelé maintenant sur une autre enquête, un vol de bijoux. A priori rien à voir, sauf que le nom de la jeune femme est peint en rouge sur le mur de la maison cambriolée. Justan ne réussit pas à faire le lien. C'est ensuite le commissariat qui est incendié. On retrouve cette fois la première lettre de son nom entourée sur le sol. Il est au coeur de l'affaire mais n'y comprend rien. Heureusement que les femmes sont là pour lui venir en aide, le mettre sur la piste d'une secte côtoyée par d'horribles personnages on ne peut pas plus misogynes.
Malgré la gravité du sujet, ce roman reste drôle du début jusque la fin, ce qui rend la lecture très plaisante. La mise en pages est agréable, avec parfois des articles de journaux, des changements de police de caractère...
Dommage que certains éléments de l'enquête abordés restent sans réponses. On devrait les avoir dans le prochain volume. J'ai trouvé aussi que le journal de Madame de Saint-Maure tombait un peu comme un cheveu dans la soupe.
La rencontre avec l'auteure et éditrice fut aussi un moment de pure détente.
À peine mariée, Mme Elisabeth Smith-Strawsburry, une jeune épousée, disparaît. Le jeune et brillant détective Justan Lockholmes est chargé de l'enquête. Son verdict est rapide et immédiatement accepté par la justice : il s'agit d'un suicide.
Trois ans plus tard, la police confie au détective l'enquête sur un étrange cambriolage : des bijoux ont été dérobés au domicile du banquier Edward de Rockfield, et le prénom d'Elisabeth Smith a été écrit en lettres de sang sur un mur. Justan est totalement déstabilisé par cette vision et semble en perdre son flair.
Il lui faudra l'aide de Miss Miniponey, l'assistante du commissaire Vacherin, et du fils de ce dernier, Yvan Beaufort, pour démêler les fils des affaires qui vont s'enchainer...
Disons-le tout net, ce polar est une petite déception !
Certes, son auteure (car une jeune femme se cache derrière le pseudo) ne manque ni d'imagination ni d'humour. L'intrigue se déroule à cent à l'heure, avec de nombreuses références à des héros de la littérature anglaise. Les personnages en deviennent assez loufoques, mais c'est l'effet recherché.
C'est plutôt bien écrit, assez simplement et sans chercher trop d'effets de style, donc, avec le rythme de la narration, le livre se lit facilement et pourrait presque devenir addictif.
Pas mal de qualités donc !
Oui, mais... il y a les défauts. Je citerai les deux principaux à mes yeux. D'abord, l'intrigue manque de cohérence, avec trop de détails ou de digressions qui ne lui apportent rien, sauf à ce qu'ils trouvent une utilité dans les prochains tomes annoncés. Ensuite, j'ai trouvé l'écriture perfectible, avec encore trop de fautes de français et d'expressions approximatives. Il me semble manquer un bon travail de relecture et d'édition...
Dommage, car l'idée est intéressante. Souhaitons que les tomes suivants soient plus aboutis.
Merci à Babelio et aux éditions Beta Publisher de m'avoir fait découvrir cette auteure et ce livre.
Chronique illustrée : http://michelgiraud.fr/2021/10/09/justan-lockholmes-tome-1-le-mystere-de-logia-c-d-darlington-beta-publisher-un-polar-original-mais-pas-totalement-abouti/
Elisabeth (avec un S, pas un Z …) Smith, une anglaise de l’époque victorienne en voyage de noces (non consommé, son époux René Strawburry a mal aux oreilles !) disparait un soir au bord d’une plage. On retrouvera quelques lambeaux de vêtements ensanglantés … A-t-elle été tuée ? Ou « accidentellement » dévorée par des requins après une tentative de suicide ?
Justan Lockholmes (de son vrai nom Jerome Petlan, un détective narcissique qui se défend contre les criminels à coups de son parapluie …) va enquêter sur l’affaire – mais ses hâtives conclusions seront mises à mal trois ans plus tard – quand l’affaire connaitra un rebondissement. Et sa réputation va en prendre un sacré coup dans l’aile …
Beaucoup d’humour et de dérision dans ce premier opus des aventures désopilantes de Justan Lockholmes, rédigé par la dénommée DC Darlington. C’est très léger et facétieux, l’autrice ne se prend pas au sérieux. On sent bien qu’elle se plaisir autant qu’elle cherche à distraire ses lecteurs ! C’est bourré de clins d’oeil adressés à la littérature policière (culte et « So British ») avec utilisation – comiquement détournée – d’un bon nombre de légendaires patronymes … Amateurs de thrillers très noirs ou anxiogènes : passez votre chemin …
Un grand merci aux Éditions Beta Publisher et à Babelio pour cette prochaine rencontre – qui s’annonce plutôt récréative – avec cette auteure « anglaise » au clinquant pseudonyme, en provenance directe du sud de la France !
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