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De la conférence de Seattle (1999) aux événements tragiques du 11 septembre 2001, ces textes percutants de l'auteur de No logo (Actes Sud, 2001) composent le journal d'une militante qui lutte avec acharnement contre la "mal-mondialisation".
Dès sa parution, le livre No logo de Naomi Klein a fait boule de neige. Très rapidement traduit en une quinzaine de langues, la "bible" de tout le mouvement antimondialisation n'a cessé de nourrir la réflexion des militants du village Global qui luttent contre l'industrie du marketing et la culture du branding. Un site Internet a d'ailleurs été créé (www.nologo.org), qui est devenu un véritable lieu de mobilisation et de sensibilisation pour tous ces militants.
Dans le sillage de son propre mouvement de réflexion, d'analyse et de dénonciation, Naomi Klein a suivi les événements qui se sont enchaînés, depuis la conférence de Seattle (1999) jusqu'aux événements tragiques du 11 septembre 2001. Au fil d'une soixantaine de textes percutants (articles du Globe and Mail, conférences, débats) qui composent une sorte de journal de militante, Naomi Klein poursuit, en l'élargissant, son entreprise de dénonciation des grandes sociétés et des institutions internationales. Avec humour et rigueur, elle fait la radioscopie de la société actuelle : ses injustices, ses impostures, mais aussi ses espoirs et ses promesses, qu'incarnent tout particulièrement les militants et les citoyens ordinaires qui s'élèvent contre les abus.
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Dernière réaction par Yannis Fardeau il y a 8 heures
Dernière réaction par RC de la Cluzze il y a 1 jour
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