Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
L'Estonie des premières décennies du XXème siècle fut le théâtre d'une entreprise singulière d'aménagement linguistique. Lancé en 1912 par le linguiste et traducteur Johannes Aavik (1880-1973), le mouvement de "rénovation de la langue" (keeleuwendus) s'était fixé pour objectif l'embellissement et l'enrichissement de l'estonien, notamment en vue de son usage littéraire. Aavik proposa et propagea des innovations radicales de la graphie, la phonétique, la morphologie et la syntaxe de l'estonien, ainsi que plusieurs milliers de mots nouveaux. La réussite du mouvement keeleuwendus est d'autant plus étonnante qu'elle s'est même constituée contre les instances de standardisation linguistique. Antoine Chalvin retrace ici l'histoire de ce mouvement original.
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