A gagner : la BD jeunesse adaptée du classique de Mary Shelley !
«Jeanne sans sépulcre et sans portrait, toi qui savais que le tombeau des héros est le coeur des vivants ». C'est avec ces mots qu'André Malraux saluait, le 31 mai 1964, le souvenir de Jeanne d'Arc. À ses yeux, elle était « la seule figure de victoire qui soit une figure de pitié ! ». Jeanne d'Arc nous échappe malgré 20 000 statues publiques sans compter les innombrables représentations en fonte ou en plâtre, près de 800 biographies parues entre 1790 et 1990, une quarantaine de films, des centaines de pièces de théâtre ou de tragédies. Les plus grands ont tenté de percer ce personnage. Verdi, Michelet, Barrès, Péguy ou Malraux s'y sont essayés. Sarah Bernhardt, Michèle Morgan, Ingrid Bergman, Jean Seberg, Madeleine Robinson, Sandrine Bonnaire ou Milla Jovovich lui ont donné leur trait. Quel que soit les efforts, elle continuera à s'esquiver. Elle semble avoir déserté le monde pour gagner un empyrée où elle demeure visible sans pouvoir être saisie. Elle est un personnage de chair devenu une icône, une femme faite une sainte, une guerrière restée une bergère, un chef de guerre n'ayant jamais fait couler elle-même le sang.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force
Sanche, chanteur du groupe Planète Bolingo, a pris la plume pour raconter son expérience en tant qu’humanitaire...